Comme vous l'avez peut-être entendu à la radio (ou sur l'article non-pleug), M Le Préfet manie le verbe avec sagacité, et la parabole du "tapis volant" restera dans les annales. Cette déclaration mérite cependant un traitement à la hauteur des sommets rétrogrades atteints.Il serait à mon sens intéressant de médiatiser et d'exploiter ce que je crois être une réelle "boulette" de communication.
En effet, railler les modes de transports alternatifs à la route en en appelant aux "tapis volants" est tout d'abord une insulte vis-àvis de toutes celles et ceux qui se battent pour faire progresser l'idée même d'un développement durable.
Cela traduit également un dédain caractérisé pour les actions de l'Etat et des Collectivités en terme de transports alternatifs (car il en existe !) et un dénigrement des efforts de nombreux de nos partenaires européens.
Enfin, vis-à-vis de tous les opposants à ce projet de GCB, cela ne fait que confirmer le mépris que M Le Préfet porte à notre mouvement. Le mot "concertation" n'a dès lors plus aucune signification quand il émane de la bouche de M. IDRAC.
Il apparaît important de réagir très vigoureusement à ce "mépris
officiel" et si possible exiger des excuses (pour les raisons précédentes) de la part des plus hautes autorités de la République et, pourquoi pas, la démission de ce fonctionnaire. Nous devrions également demander un "droit de réponse" sur l'antenne de France Bleue Gironde.Pour finir, il serait peut-être intéressant que le "tapis volant" apparaisse sous une forme ou une autre (que je laisse à la créativité de chacun) pour pouvoir être immortalisé le 19 juin ...
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